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Territoire et société

« Avec un superpouvoir je pourrais faire arrêter les constructions »

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Essonnienne depuis toujours, Michèle Noia a grandi à Brunoy, dans le quartier des Hautes Mardelles. Aujourd’hui, elle vit à Mennecy, mais travaille à Quincy-sous-Sénart en tant que directrice de la maison de retraite Tamias.

  • Quels aspects de la vie en Essonne vous plaisent le plus ?

Michèle Noia : “En Essonne, on trouve à la fois des coins de campagne avec de très belles balades à faire ou des producteurs locaux, et à la fois, on reste à proximité de Paris et des centres urbains. On est l’entre deux et c’est ce que j’aime. Quand on a envie d’être dans une dynamique de ville, shopping, jeux, sorties culturelles, on dispose de ces architectures à proximité, mais à la fois, quand on veut s’isoler dans un côté un peu plus campagne, calme, reposant et rassurant, on a aussi cette possibilité.”

  • Quel est votre meilleur souvenir ou expérience en Essonne ?

Michèle Noia : “Mon enfance à Brunoy, dans le quartier des Hautes Mardelles, avec la diversité des populations, la diversité des ethnies. J’ai grandi en quartier populaire et j’ai appris à vivre avec tous types de confessions. A l’époque, on était vraiment sur un rapport de partage et de solidarité. Je crois que cela se perd un peu dans mon quartier, même s’il y a toujours une belle dynamique grâce aux associations locales.”

Michèle Noia. Photo LC-M’Essonne
  • Imaginez que vous avez un superpouvoir, que faîtes-vous avec en Essonne ?

Michèle Noia : “Avec un superpouvoir je pourrais faire arrêter les constructions, les abattages d’arbres et conserver le paysage naturel de notre département. À l’époque, l’Essonne, c’était beaucoup de champs, mais on en voit de moins de moins, les bâtiments poussent de tous les côtés. Aussi, je mettrai plus en avant les producteurs locaux, dans les supermarchés par exemple.”

  • Si l’Essonne était un plat, lequel serait-il selon vous (et pourquoi) ?

Michèle Noia : “Les châtaignes grillées au feu de bois. Ça évoque le côté douceur de vivre de l’Essonne et ça rappelle la nature, les balades automnales dans la forêt de Sénart. C’est aussi un souvenir de mon enfance.”

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  • Vous êtes conducteur d’un bus touristique en Essonne, où nous emmenez-vous ?

Michèle Noia : “Du côté de Milly-la-Forêt, de la forêt des Grands Avaux, aussi chez Claude François à Dannemois, en passant aussi à Soisy-sur-Ecole, avec un petit détour au château de Vaulx-le-Vicomte en Seine-et-Marne.”

  • Si vous deviez quitter le département, qu’emporteriez-vous avec vous ?

Michèle Noia : “Mes souvenirs et ma culture de la diversité.”

La question bonus

Quelle musique avez-vous en ce moment dans les oreilles ?

“Zaho de Sagazan. Je trouve qu’elle a une voix singulière et ses textes me transportent pas mal. C’est une révélation actuelle que m’a fait découvrir ma fille.”

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